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Derniere Phalange

by K1k Lartisan & Deofi Al Vesre

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1.
2.
Le sens de ma plume n’aurait pas de valeurs, autant que l’amour pour mes proches n’a pas d’odeur, il n’y aurait pas assez de milliards sur cette terre, pour accorder le bénéfice à mes paroles et à mes pères, et merde, mon big édifice est ridicule, mais aucuns des nôtres ne l’a prise dans le cul, j’adule mes proches, c’est de l’amour propre, on laisse le calcule à ceux qui t’emmerdent pour leurs poches, qui t’emmène dans la Porsch, il n’y a rien de gratuit, tu finiras sur YouPorn, rubrique sodome, c’est ludique et dans la norme, extras, j’attends la bière, le splif ou la pipe pour me sentir homme, défoncé à la vie d’un môme, dépendant de mes vices, à chaque salaire, c’est du tétrahydrocannabinol, je défends mon sens tactile, mon son une tactique, prendre mon pied sur un sample, seul devant ma feuille blanche mais des millions dans la même danse. Défoncé à la vie et ses multiples extras, certains une dérive, mais mes piliers me maintiennent droit, quelques valeurs, beaucoup d’amour au fond du tiroir, distribué à qui cela revient de droit. Mon profit se glisse dans mes rimes, c’est de mes écris que je profite, je ne sais pas à quoi je me destine, je prends ce qui vient et j’assume, dans cette corrida, c’est bien ça un taureau, un bœuf sans couilles mené à l’abattoir !? dans ce cortège, je me voyais gladiateur, mais je suis plus proche de Linus que de Cortex, c’est mes arrières que je protège mais c’est de face que je proteste, ma vie est belle mais sans extras elle serait grotesque, je ne veux pas me battre pour la plus grosse caisse, Je dois satisfaire mon fois en pleine grossesse, faut que je rigole mais dans le rap, c’est ma par sombre qui progresse, faut que je picole et que je parte à la chasse de belles fesses, adepte des plaisirs de le chair, je choppe au vol ce qui m’est chère, le plus compliqué c’est l’envole et savoir ce que l’on recherche, moi-même perdu je me perche, un coup de file à un proche, pour rallumer la mèche et reprendre la marche. Défoncé à la vie et ses multiples extras, certains une dérive, mais mes piliers me maintiennent droit, Quelques valeurs, beaucoup d’amour au fond du tiroir, Distribué à qui cela revient de droit. Je suis un technicien des molars, trop rare pour manquer leurs carrières, je crache sans faire de manière, j’aimerais vivre dans mon champ, mais trop de chose m’en empêche, ce n’est pas mes petites barrières, qui m’arrêtent, c’est le voltage du sourire d’un ref qui m’anime, la weed, les cuites, le rap, ma famille, le ronron de ma chatte câline, ma caille pour visiter le monde, de La Paz à St-Gall passant par BDX et Lausanne, à chaque envole un fix, chacun vole sa fuite, ma première balle à celui qui viole sa fille, ma première rime à ma tête de liste, mon amour à ma tête de lit, mes racines et mes proches mon plus beau délire, merci à la vie d’être fertile, neveux et nièces à la pelle, je respire, je porte sur mon dos un baluchon d’espoir pour mon môme, une cartouche d’encre dans la main gauche, la droite pour mes cinq refs et aussi mes trois phalanges.
3.
Quand je parle de love il y a beaucoup de bad à tirer sur le bang, je veux retenir, moi et mes refs à frimer sur le banc, a vouloir transformer le monde, traquer le rire parce que c’es ce qui nous manque, truquer les titres, parce que c’est ce qui nous ment et ce sacré fric qui nous hante, dans un sacré vice qui nous tente, devenir bon est un sacrifice qui me tend, je reste activiste pour crier sur tous les toits, combien je tiens aux miens, délier ma putain de langue de bois. Quand je parle de love, bien sur que je pense à M’man, à me réjouir du rêve ou elle me serre, sans chercher le mauvais sort, mais comprendre le trouble principe de la mort, un quotidien, qui rend pénible le principe de l’amour, un grand hommage à cette femme d’honneur, une main de fer dans un gant de velours, femme dévoué, pleine d’espoir, une petite brute sur pattes, belle et coquette, parce quelle savait pertinemment que l’homme est niais. Quand je parle de love, j’y place ma famille en or, j’y inclus mes amis en ordre, et ouais quoi c’est ma horde, mon idéal parce que soudé, prêt d’eux je ne dormirai jamais dehors, je savoure ma chance, dévoile mes atouts dans cette chanson, parfois je dérive, mais contiens de la réalité et du délire, je veux chérir les miens qui tendent à briller, eux qui bondissent à l’appel sans se faire prier, ceux en qui j’ai confiance. Quand je parle de love, je gerbe mes rimes, ma lave, avec l’envie de pourrir tous ces pouraves, d’offrir à mes gars un texte qui soulage, à ceux qui se souviennent, que tous se soulèvent, que les waks salivent et regrettent le solfège, je salue et regarde le passage toutes luttes de mon bord, on se retrouve sur la même barque et ces chiens sur un douze mats d’or, on se donne du mal pour notre art, ce n’est pas pour vous la mettre, autant qu’on ait ça pour soulager notre rage. Quand je parle de love, c’est les grosses basses qui résonne, mon Yo en beat-box et les heures de freestyle, à rever d’or en barre, sachant que dehors ça se bat, entre quatre murs, on mord le Mic, on emmerde le monde, on adore ça, on agit par faille, les fouilles qui agitent, la foule sage qui défile, je me fou bien de savoir de quoi il s’agit, j’attend rien des autres, on n’est jamais aussi bien servi que par sois même, avec son entourage, comme arrière garde, tanto avec mes refs tanto rapace, faut savoir être objectif squad, tanto Crazy Mental, que je kiffe moi, l’équipe qui te livre les dix mille mandales, l’équipe qui l’ouvre, c’est mon équipe qui veut creuser l’écart. Enfin quand je parle de love, j’espère que tout le monde s’y retrouve, que tout le monde à sa putain de team qui déchire tout, un temps à construire mais un tel plaisir à s’en rendre compte, plus de compte à rendre, c’est ma vie et pas un conte, quand je parle de love, « On The Real » « CMC » mon père, mon frère, Yo, Palain, Todo, Benj , Cheasy, la sensi, Marcus, Flap toute ma famille, le rap ceux qui luttent, Akaustic, Grico, Ghost et aux gosses à venir.
4.
Du journal d’hier, j’ai retenu le manque de souffle, les uns mentent, les autres s’en moque, les infos on s’en branle, il y a le faut qui croque, l’autre qui craque, les tipes comme moi qui smock, parce que ça nous calme, il y a toi qui t’en bats et le voisin qui bat sa femme, le monde qui tombe bas, irait se battre pour la flamme, on bouffe mais on s’en bat de la ferme, la ferme je bouffe et m’en bat du terme, les signes ne trompent pas, la monté des troupes Russe, le populisme suisse, la hausse des ventes d’armes, les mauvais plans venant directe de Dam, les bons des placards, les blondes comme traquenard, comme un bon bout de barbaque, comme un bon vieux barbare, courte mémoire, je cours encore et toujours pour un court émoi, je signerais la balle de match si je pouvais changer le cour de l’histoire, tendre la corde, me détendre, je prends le Mic, pour défendre ce que la défonce n’a pas fait de moi, une loque sans mémoire. Mémoire courte, animé par ce dont on nous dit, on en oublie les tragédies, aveuglé par la poudre aux yeux, mémoire courte, et nous on court fragile, dans le mur de la cour des seigneurs en armures d’argile. Je ne sais plus moi, j’y pense et puis j’oublie, ces usines qui pètent, les daronnes pleines de soucis, les nuages nucléaires, l’Erika, Katerina, le Darfour, la dépression est contagieuse et démarre au quart de tour, planqué dans son monde on se croit à l’écart de tout, mais c’est bien aux mêmes merdes qu’on carbure, du quatre-quarts, au CAC quarante, trouves-moi un politique garant, Et je te prouve moi, que c’est un grand marrant, si tu le découvre toi, sors de ton ignorance, un lâché de colombe, de face, une action de colon, une farce de capitalo, les pauvres sont sans intérêt, superman a perdu sa cape depuis qu’il s’est fait violer, comme si le monde avait changé depuis qu’un noir l’avait dirigé, mangé par le Fordisme et sa chaine, la seconde guerre annonce le troisième tour, trop de suceur de couille, on plonge comme le Koursk, une demande à l’aide bien courte. Mémoire courte, animé par ce dont on nous dit, on en oublie les tragédies, aveuglé par la poudre aux yeux, mémoire courte, et nous on court fragile, dans le mur de la cour des seigneurs en armures d’argile. En comparaison de nombreux drame, toujours en piste ma fois, tu comprends bien, c’est la crise et ses méfaits, toujours pas plus la foie au Christ, comme tous, c’est sur les belle poule, que je bande et sur le fric que je compte, je suis, j’oublie, j’y reste, je me cuite, je me nourri et j’en reste là, j’empeste la mémoire courte, ta gueule avec tes émois et cours, Krevar parce qu’on m’a enseigné le profit, dure d’être honnête, parce que d’être une pute, c’est d’être habile, j’ai mis mes bretelles pour pas perdre mon froque, et mes lunettes, un vrai dilemme, entre ce que je vois et ce que je prône, je ne parle plus d’odora tellement ça pue, une vie pieuse dans ton cul, la crise une aubaine pour les abus, mais je suis plutôt fière comme vous tous de faire partie, de cette bande d’abrutit, abrité, sous les flammes de la démocratie, les méthodes de la STASI, on l’oublie pour une bonne mousse devant une partie de foot, ou une poulette pour une partie de foutre.
5.
Défenseur du rap, d’une âme qui se perd, défendeur d’un art qu’on aime, défonseur de mines depuis temps d’année, on se comporte bien, se porte bien, ouais, mais jusqu’à quand, l’ami ?! Je me contiens et me contente, de ces guerres de niche, pas moins content qu’un chien, contant mes peccadilles avec conscience, contemplant le monde contemporain de mon œil sombre, pactisant au maille, activiste et fils de la plus belle, CMC par principe, parce que de notre histoire je suis fou d’elle, combattant discret, mais à grandes gueules, se battant bien des modes, passionnés du hip-hop, un massage de cerveau, ces phrases qu’on tricotte et ces phases en impro., à quinze berges on dépote, c’était la belle époque, on est loin d’être pro., aujourd’hui, non, mais on est toujours pote, passes le Mic, dépassé par la haine, faire un putain de freestyle, choper le braque mare parce que nos pensées , ont dépassé nos lèvres, plus bandant que le plus belle, discipline perdue, tes écris, mec, maintenant tu sais ou tu peux te les mettre, on a toujours été nos propres élèves, facile quand le cœur saigne, d’être son propre maitre. L’impro., sur l’instru., Mc c’est l’impot de la street, l’égo, la sensi, les propos antinazis, pour un quiproquo par en vrille, les chicots s’abiment, les chicas allument, c’est chicos mais à chacun sa plume, à ceux qui se prennent pour le type Rocco, genre inépuisable mais pour faire de la merde, c’est inexcusable, on rap nos vies, l’usinage, les dealers qui tombent, les périodes d’hiver interminable, cold world, un froid international, diriger cette vie à la sauvette, mitigé à chaque rencontre, car je sais que l’Homme est mauvais, demandes à Perce-Oreille, le nombre de fumiers qu’on peut croiser en Suisse, notre avis en vice ça vaut ce que ça vaut, Skeez, fait péter le beat, qu’on les mette en causes, vu la politique, je suis même plus d’êxCreme gauche, le partage a glissé sur une banane, tu en croise beaucoup toi des gens, dans la rue, qui ont la banane ?! À l’affut du premier achat, compter sur la chatte, loin de mon rap, confronté à ma propre morale, le confort de mon art est de rester réel, trop se réconforte en se serrant dans les bras, se servant dans un bar, tu me trouveras derrière le pressoir, bourré, pétant un câble, un prétendant de plus à nicker l’instrumental, rappeur dans l’âme, mais punk à dix ballais, la jeunesse emmerde le Front National, salut à toi ma Men, J’ai vie détesté qu’un Homme n’ait pas de toit, avec ou sans papier, chacun sa part, ça part d’une bonne intention, utopiste ma part, je l’ai et je la garde, je joue la carte de la prévention, l’amour de l’occident pour la prétention me gave, ma passion me sauve, un excitant qui soulage les fauves, fout la rage et parfois saoul, je vole dans le vide mais je kiffe l’adrénaline, malgré les bads ma vie je la kiffe, mes potos, le rap, ma famille est ma raison de vivre, on a appris avec le temps qu’à deux on est bien plus fort qu’à mille, putain qu’est ce que je regrette cette première Camel, allé une clope et je me remets un verre, polytoxe peut-être mais polyglotte pour sûr, je pilote une barque bancale, qui me fait vivre de belles aventures à la rame, les coups dures soigné au rhum, singer pour le taf, signé un artisan, qu’on aime ou qu’on aime ap, mais je m’en tape, mais je ne mens pas, ce qui se perd dans le rap, tu es le saphir et moi la pierre tombale, peut-être mais je l’affirme, ce n’est pas la beauté du caillou qui fait brillance du recueil, je suis la pierre tombale et toi es le saphir peut-être mais je l’affirme, ce n’est pas la beauté du caillou qui fait brillance du recueil.
6.
ARTISAN 04:45
Artisan des mots, tortionnaire de phrases, manutentionnaire dans le paysage, du rap qu’en fait trop, un artisan se bat des codes, mon produit, ma propre méthode, stylfree dans la street pour la déconne, pas besoin d’artifice, pour lacher mes nerfs, c’est déjà assez triste de les voir, ce qu’ils font de notre art, rap Contender, je comprends ap, je m’en contente ma fois, tant qu’il y a des insultes, je suis content, moyen d’expression qu’a l’avantage de nécessiter que peu de moyen, on rêve que ça soulage la cécité, de tous ces crétins, on s’instruit dans les ouvrages et on comprend pourquoi la terre est blindée de nécessiteux, je trace ma route regarde avec dégout, évite trop de strasse, je ne veux pas finir à l’égout, la moitié de ma vie à rapper ma merde, un tiers à chialer ma mère, le premier opus d’un artisan cramé de la tête. A petite échelle, sans grand éclat, artisan de ma vie je m’éclate, je fais fis des critiques, j’ai mes attaches et mes principes mon entourage, le rap et ma famille. Dans ce gros beez, je suis qu’un briseur de rêves, je doute que les grosses entreprises tiennent les artisans en échec, quatre bises une devise pour le rap de mon époque, on n’a pas le bras long mais nos rîmes ont de l’allonges, pas de reproches on est impec., notre approche a du sens, une accroche et un thème mais, à force de se faire baiser on aime, artisan d’une vie en crise, mais en forme, dans la norme j’ai misé, sans tricher sur les chiffres, bûcher des centaines d’heures, sans sortir de disques, je rêvais de ma mère et d’arrêter le tize, aujourd’hui je suis fière que mon petit me les brises, pour toi maman, je m’ouvre une bière et relève le défi, tu priais la relève d’une petite fille, je t’ai donné un petit fils de sa mère, comme quoi, même l’artisan brille de sa mère, je veux qu’il apprenne le partage, offrir et recevoir, ce que je tiens de la famille de ma mère. A petite échelle, sans grand éclat, artisan de ma vie je m’éclate, je fais fis des critiques, j’ai mes attaches et mes principes mon entourage, le rap et ma famille. Je cultive ma haine, artisan de l’aversion, trop souvent seul par immersion, mon viseur est dépassé, trop de cible ça me plombe, mes rimes du gros calibre qui a l’effet d’une balle de plomb, coincé dans la cale sèche, le doigt d’honneur rivé sur la gâchette, petit soldat parce que j’en ai marre de l’être, c’est ce que mon cerveau distille, au service du style, sordide disent-ils, mais sors vite d’ici, dis leurs d’éduquer leurs fils et surveiller leurs filles, sauvages souillés par l’appétit, flemmard trop difficile à arpenter, appelles moi le charpentier, artisan du traquenard je m’en échappe entier, je suis aussi ce petit architecte, dentiste parce que j’ai les dents contre, vétérinaire parce que j’ai les glandes, mc trop fière pour que je m’en contente, papa super héro et fière de l’être, artisan du texte, pour toi mon petit ces quelques lettres. A petite échelle, sans grand éclat, artisan de ma vie je m’éclate, je fais fis des critiques, j’ai mes attaches et mes principes mon entourage, le rap et ma famille. Merci mon frère, sans plier mes rêves comme pilier, merci de me dire ce qui te gène sans trier, au milieu du verre piler, y’a souvent une bouteille pleine, sans messages à la mer, misandre j’aurais été Femen, misogyne n’a été qu’éphémère, la cyprine au litre j’en rêve, je m’en branle, ca ne s’apprend pas d’être à la traine, prendre son pied sur le trône ou travailler à la ferme, les petites trouvailles pour baiser à long terme, c’est ça qui paie, qui ? baiser l’autre aujourd’hui, c’est s’équiper, salut cette équipe, sale époque, la tactique baisser son froque, je laisse ça aux politiques, dédicace mon rap propre, à ceux qui chantes avec style et technique mon pote, j’emmerde ceux qui esquive mon pote, l’artisan une paire de couille et une bite en or, je salive à écrire que devant un porc, je me comporte bien mal, je les évite comme la peste, comme le Concorde j’ai plus l’âge, loin d’un homme en armes, je me sens bien plus sage.
7.
(K1K LARTISAN) À travers mon œil de bœuf, j’empire mon drame, emprise à une trouille de l’autre, quand entre deux crises je travaille, pas de Champ., dans ma future coupe, à peine de chanvre pour tenir le coup, planqué dans ma chambre, la serrure est plus forte que les casses couilles, je redouble d’effort, parce qu’on redoute l’effet à long terme, nos feuilles pleines t’inquiète ne le font pas à l’envers, une prise de conscience collective, un max d’agent à la barre, un max d’argent en partage, une idée de Marx pour idéal, gauche, gauche, pas que la marche au pat nous rende sociable, ça se dit tout bas, que ça marche aux coups bas, on arrivera toujours à nous faire gober un coupable, faut pas laisser, à un petit con, la parole pour un grand sujet, on se fout bien de ce qu’il suggère, de ceux qu’il entraine dans la merde, nous on a la parole comme bras de fer, sans le fric de Brad Pitt, mes Freaks se planque à la Fark, sans être des planqués de la Fac, c’est la jungle et c’est pas une blague, donnez-moi un grand coup de sac, avant que ça parte en grands coups de charges, le monde se calme le temps d’une coupe avant de repartir en chasse, de répartir les richesses, à en faire pâlir les plus riche, à en rendre les plus lâche polis, la méfiance, la valeur la plus solide, histoire de nous tenir dure dans nos galères, sans suite le faible le reste, sans nuire, tant qu’il reste seul et se ruine, parce qu’un groupe à lui seule pourrait leurs nuire, parce que ma troupe à elle seule voudrait leurs nuire. Tous anonymes, méfiants et paranoïaques, la lutte devrait être commune, défiant à la force de nos voies, enfermé à double tour, le danger est partout, formaté par la peur, tout esprit d’ouverture est perdu. (SKEEZO) Apprenez pourquoi on pète les plombs dans une situation survoltée ne vous méprenez mais comprenez les êtres révoltés sur nos monts quand les gros poissons nagent au dessus des lois la suisse d en bas d un criant reveil  annonce le combat car déçu des voix on hurle à l injustice mais n entend pas changer l évolution dans l ère des pollutions on s étonne d entendre chanter des airs de révolution on est l avenir de nos enfants et celui dos retraites anticipées on veut gagner notre croûte aller sur une route de doutes dissipés toute l assemblée donne le Rap complice de black sheeps indisciplinés à croire que pour marcher droit on doit s incliner face aux projets de contre progrès de l union des cons nationalistes ecrire la musique sans mélodie ni voix ni contrebassiste Jveux pas eu on m dicte ma conduite au rythme des militaristes mes rimes revendiquent plus au une image de site pour touristes on nous donne pleins d étiquettes alors je colle un post it gardez en mémoire les pages de l histoiresans rattrapper une rage d otite. Tous anonymes, méfiants et paranoïaques, la lutte devrait être commune, défiant à la force de nos voies, enfermé à double tour, le danger est partout, formaté par la peur, tout esprit d’ouverture est perdu.
8.
Triste réalité qui me confond, je suis bien conscient et donc confus, et me réconforte derrière un rap qu’on dit conscient, mais qu’on a tous ras-le-cul, entre les crapules que j’insulte, mes utopies passées et mon avenir que j’affute, aigri avec le temps, je deviens froid et dure, écris qu’avec le temps, je devine tous les sales coups de putes, je ne suis pas le bon pote, croix de bois, croix de fer, je crache ce que mes rimes broies et fini mon verre de schnaps cul-sec, faut que je clash ce que ce monde fait de moi, un anonyme pilleur de ressources dans un pays riche, vendeur de grenades et de canifs à la place du calif, petit facho suceur de queux pour le droit des actifs, j’ai mes racines dans un arbre bien moisi, ici les politiques tapinent, et il faudrait que je m’affole pour la collecte, alors que c’est la récolte qui nous importe moi et les collègues, les infos on s’en branle, nymphos de la plume et des trois phalanges En instance de divorce avec ce monde qui m’entoure, marié à la Maria, j’ai la corde au cou, on aurait pu le parier, qu’on finisse en paria, au moins je n’aurai pas loupé, tous mes mariages. 360 degrés un demi-tour et j’ai déjà bégère, sur la mariée, qui me tient depuis l’acné, voyant le monde j’arrive à comprendre les enfoirés d’ACMI, sans armes dédié à mon art, malgré les détracteurs, je reste actif, passif, moi aussi j’ai mon armée, chaque concert une manif, j’avais juste à parler, un seul geste, celui que gène par-dit, je me fou de ce que tu as donné et de ton dieu, l’humain est damné, nom de dieux, j’ai la fois et le numéro de mes maitres est sur mon portable, c’est des tueurs mon Samsung, une preuve de port d’armes, parfois je te jure ça me saoul d’être down, get that, une boulette au shit, l’économie je laisse ça aux chiffres, mais je me lasse de l’écolo., pollueur/payeur, mais qu’en est-il de l’Amazonie, comme un con, au milieu de cet ama de zonard, je suis plus proche d’une guêpe tueuse, mec qu’une gentille fleur, connard. En instance de divorce avec ce monde qui m’entoure, marié à la Maria, j’ai la corde au cou, on aurait pu le parier, qu’on finisse en paria, au moins je n’aurai pas loupé, tous mes mariages. Ma mémoire porte les séquelles de mes épousailles, autant que ma joue celle d’un petit batard, ce monde coupé de murailles, couplé d’amourettes, décuplé le 14.02, je m’offre un Blunt et un verre de sky, pour le salut et la lumière faut se mettre à table, par romantisme je sors les chandelles, je lis en braille, j’allie par autisme mon doigt d’honneur et mes failles, c’est fou comme on est bien dans l’arrière salle, j’y reste, le décore me plait, alors je m’allume un couplet, mal poli, c’est leurs paroles, que je viens couper, ma grande gueule, un beat, un duo de choc, ensemble le culot nous porte et si l’envie nous prend, on se fait une triplette au goulot, la piquette nous charme, avant une recharge, je ne suis pas fou, l’erreur colle à ma peau, je brule ces pages criant à l’arnaque, croulant sous les dettes, quarantenaire croulant, partenaire d’un gosse aimant.
9.
En contact direct avec le monde, une grosse affaire commerciale, dont les plus avares sont au premier plan, à jouer sur les prochains plats, accroché à la marge, rien à battre, les politicards sont de proches parents, rien d’anormal quand on sait ce que ça rapporte par an, on nous la fait à la carotte pour finir en âne de 60 ans, après trop de bad, paies ton viagra, y’a plus rien de bandant, même l’indépendance ne vaut plus rien, le fric, plus moyen d’y décrocher, les jours de pénurie, on peine à en rire, je ne suis pas un ange, mais je reproche la furie, le craque de 1929 qui se répète, les nazions d’Europe en pleine conquêtes, on se tue à la clope, menant nos propre compète, sans but précis mais avec l’intention ferme de toucher la cible, un devoir que je conçois, usant de trois phalanges, en voyant que la gauche ou la droite déçoit les gens, le système craque parce qu’un bénéfice alléchant beaucoup de pute y font allégeance, et c’est le téléjournal qui me réveil, prêtre pédophile qui me révolte, ou peut-être même un complot qui s’éveil, et les tonnes de merdes qu’on soulève, pour un politique qui somnole, on atteint le summum, ils se disent sorti des urnes, tu sais quoi ? moi je sais juste d’où sort l’urine, après une campagne en guise de sérums, lundi matin c’est l’usine et mes rebelles qu’on assassine. Les signes avant-coureurs, tu les as vu avant de courir, et si ça saigne avant ton heure, ne viens pas me parler de surprise, à trop scier la branche, normal elle se brise, Je cache sous la manche, les détails de la prochaine crise. Un contrat signé pour une reconnaissance sociale, au contact de celle-ci, l’alcoolisme n’en est pas moins sociable, une vie miteuse derrière un bar, jugé barge, autant ça que flic, juge et clash, jugé classe, c’est tous mes gars, insoumis devant l’assermenté, un sous-fifre, maintenir l’ordre son kiffe, lors qu’il défend un siège en or, fait chier pour un splif, promu aux stup., pour une répute de pute, mes répliques en blocs qui dédies les kils. à la rue, et se foutent des rondes, des kiss. qui rodent, qui est-ce qui ronne au Mic, ils disent qu’on prône le mal, peace, c’est sur les défenseurs de l’Etat qu’on crache, détracteur de la première heure, pas la peine de me faire la morale, comme beaucoup je me démerde et compte pas sur l’Etat, comptes sur moi pour serrer l’étau, mes rimes et mes potos, en guise d’épaule, parce que trop de pauvres, mis en cause, et trop de pauvre type misanthrope, misant trop et du coup des cops, ouais vas-y mets en plus, ça me donne une masse de proies de plus, l’attraction terrestre me fais diriger mon pouce, j´ai pas de dirigeants célestes, je ne comprends pas qu’une pute, puisse devenir un agent célèbre. Les signes avant-coureurs, tu les as vu avant de courir, et si ça saigne avant ton heure, ne viens pas me parler de surprise, à trop scier la branche, normal elle se brise, Je cache sous la manche, les détails de la prochaine crise. Au contact d’un contrat pour la Une, on compte plus toutes les merdes qu’on a pu lire, le bras long proche du pouvoir, faut de l’allonge pour le passe-droit, et ça va de soit une gorge profonde, comme une piquette au liège, tant de tes phrases sont imbuvables, ton journal un buvard, c’est étrange mes jours à moi sont cautionnés de bravoures, encore hier je n’ai rien lu sur mes guerriers et les défenseurs de valeurs, mais sur le beau merdier qui nous sert d’abreuvoir, rien de rose à prévoir, Madame Soleil est morte et Charlie se perd, liberté de la presse sous le joug des politiques en joue, de ses propres promesses, ça promet de beau jour et ne parles pas de progrès, ce n’est pas une news, qu’il n’y a pas d’embrouille chez ceux qui parlent réel, nous, on rêve juste d’un week-end peinard entre autres, ce qui casse l’idéal des connards de ce monde, vivre et laisser vivre, hier Monsieur le conte comme titre, le compte comme titre, aujourd’hui à Monsieur le comble, un sale con applaudi dans une sale comble, ça sent le foutre, autant se faire une poutre, tous de mèche mec se congratule, je suis à deux doigt de porter le crète, un punk personne l’encule, un Junk est meilleur qu’un trader en calcule, évidemment moi une merde en écriture qu’on congratule, mais je porte fièrement l’image de ceux qui n’y croient plus, de tous ceux qui n’y croient plus.
10.
Tous à la même on suit, devant l’écran on crie au scandale, tous à la même enseigne s’enfuit devant un vieux film, tous à la même, tous à la même muni de son histoire triste, tous à la même. Ils croyaient rugir devant le Lion King, le roi du monde, on comprend vite que c’est que pour les films, poser une bombe sans dommages civiles, rouler en trombe, éviter les flics, on comprend vite que ce n’est pas la vraie vie, je reste un narrateur utopiste, sans différences en Toi et Lui, un blablateur au Mic qui défend ses envies, parle de défonce, parce qu’intégrante de nos vies, tandis que nos valeurs tant chéries sont perdues, au nom de ma chère et de mon être, on court à notre perte, et peu importe à notre terre, on n’est pas foutu de faire avec, tous à la même basé sur les mêmes modes de comm. et les mêmes modes, à baver sur les mêmes connes. À croire que les stats c’est Made, on est naze, regardes les states c’est mort, comme si la suisse c’était Frei’Heil’Zinger, et libre de singer et libre de mensonges, je toucherai la pointe de l’Eiger pour faire passer mon message, marquer à la pointe de mon Mic, faire remarquer que les ponts de notre art s’écroulent et que les bons se font rare, en attendant on traine tous dans la boue, avec entrain on trime parce qu’il y a pire, les mêmes news morbides pour les mêmes rêves sordides, on n’est pas sorti de l’auberge, non, jamais sans une grosse cuite, on tète dans le même abreuvoir pour sortir les mêmes titres, tous ça à grande soif, tous à la même on veut foutre de grandes baffes, l’idéal d’un monde antifa, vision d’un monde virtuel et leurs artefacts, tenir face à l’artifice mais moi j’y vois rien de fake dans l’art de Fuck, un écart de taille entre ceux qui luttent et ceux qui écartent les cuisses, on reste tous à la même, on nous pousse aux votes, partit avec une bonne cote, on se couche encore avec une grave amertume du futur, démocratie directe qui se transforme en salon de coiffure, ici si t’allonge, pas de raison de te tourner les talons, avec du fric même un pouilleux devient bel étalon, gravir les paliers, marcher sur l’autre, je croix que nos vies ne sont pas liées, tous à la même dans nos différences, qu’on ne peut pas nier. Tous à la même on suit, devant l’écran on crie au scandale, tous à la même enseigne s’enfuit devant un vieux film, tous à la même, tous à la même muni de son histoire triste, Tous à la même. Tous à la même on suit, devant l’écran on crie au scandale, tous à la même enseigne s’enfuit devant un vieux film, tous à la même, tous à la même muni de son histoire triste.
11.
(PROTESTANGO) La culpa pa´ mí, se pudrió el perejil frustran los carteles que dicen: fragil discutir, convivir? veo tu jeta infeliz venirme a mentir con un tsunami infantil? serás gil?, sos una mierda y vas de gentil? tus ataques tatuajes no llegan ni a cicatriz dividís, tas´ cenil, revertís la raíz perdiste el carril y se te pira el remis. Si no hay lo sembrás, buscas el conflict objetivo de tu life, inocente naif filosofando así, paté de fuá con cirrosis? filoso está el Deofi, no me durás ni un morfi te garúa tofini logi, se cayó tu atril el pecho “ofri” de tu secta, infecta es febril el asma prefiero, que el hazme reír entre hormigas dormí y pasadas de speed. La sufrís de martir, maniquí de marfil aburrís salamin, yo me manggio tu alfil berretín referí, corta el trip del hachís la vas de adoquín y de Venecia venís ostra sin perla, no la rompo ni ahí no hay matiz, no brillás ni viviendo en París sos cobarde alguacil, que te pudras feliz por el “orti” mi dedo es delgada lombriz. C’est ma dernière phalange… ARRIBA, ARRIBA, EL DEDO DEL MEDIO ARRIBA! C’est notre dernière phalange… SOULÈVE, SOULÈVE TON PLUS BEAU DOIGT D’HONNEUR EN L’AIR! (K1K Lartisan) Dernières phalanges comme mots d’ordre, ma part aux anges, offre une corde à ceux qui se la prétende, Deofi à la prod., un défi on le relève, Deofi à la prog., on cris haut et fort qu’on maltraite ces paincos, qui te sourient de face et te poignardent dans le dos, FSF discipline perdue, mais comme ma génération elle perdure, one love si tu percutes, one love, one love, le calcule fait perdre la tête, revoies ta copie, scène de viole, en live, en live, ma dernière phalange, ma life, ma life mon Mic, mon Mic, balafre, balafre et si on s’aime, viens on se balade, trop de perte de time, sourire à un cadavre, Mc qui parle Hip Hop avec une vie hors sujet, donnes moi tout l’or du monde, Pffff , mon doigt d’honneur est hors budget, dors tranquille mon loup, je te protège, et rappelles toi nos proches, valent bien plus que tout l’or du monde, peace, à ceux qui se reconnaissent, bonheur à toutes les femmes qui nous surpasse, malheur au capital, fils de ce monde, branleur et marginal, paceño soy, plurinacional, por amor, chileno, cachai weon po, por amistad St Galler für die Carme, füre füre mit dem Balle. C’est ma dernière phalange… ARRIBA, ARRIBA, EL DEDO DEL MEDIO ARRIBA! C’est notre dernière phalange… SOULÈVE, SOULÈVE TON PLUS BEAU DOIGT D’HONNEUR EN L’AIR!
12.
MON CHAMP 03:23
J’ai dû faire le ménage, pas de pitié, j’ai dû apprendre la rancune mais à pats de souris, à par la trahison, il n’y a pas de souci, ma paire de merde aussi me traine, j’ai jamais été traitre, j’admire mes gens qui m’aide, parce que je suis à la traine, j’ai de la peine à suivre, je ne suis pas du peloton de tête, marginal peut-être, une par d’image me hante, ma par de bête me tente, animal, en fait, qui s’anime, au fait, je prêche la défaite, à qui veut bien l’entendre, j’ai pris ma défense, artisan trahi par l’illusion, ma génération clouée sur sa potence, ce rap ne vaut pas plus qu’un autre, je ne veux pas d’un vote, mais de l’action, ni des vôtre, chacun son association, pardon, perdons, tout sens commun, perversion vouée en trois phalanges, avoué à mi-mot, cette vie je la kif, mais pourquoi donc j’ai la mi-mole, je croix que je crains ce qui se mijote, sous le manteau ce qui me pilote, toutes ces merdes qui me rendent tout palot et toutes ces salopes, je suis à fleur de peau, dans mon champ, la flore aura raison sur la faune, j’ai besoin d’air pour éviter le bistrot, pas de stress, au jour le jour, je repousse au lendemain ce qui me casse les couilles, dans mon champ je ne veux pas d’embrouille, mais je laisse la parole à ceux qui reste réel, mes refs, et ceux qui m’aime. Alors dehors, sortez de mon champ, je voulais voir pousser des rebelles et ça sans prendre de champ., la réalité m’échappe, je mets ça sur le dos de la dope, des claques, j’ai bon dos, mais plutôt une grande gueule. Alors dehors, sortez de mon champ, je voulais voir pousser des rebelles et ça sans prendre de champ., la réalité m’échappe, je mets ça sur le dos de la dope, des claques, j’ai bon dos, ouais j ai bon dos. Ma vision n’a d’avantage que pour mes propres repères, ceux de mes potes, mes propres pères, sans qui, mes portes se ferment, sortez de mon champ, il est miné ouais, et ça, parce que le KO murmure à nos portes, sur la défensive, normal, constamment défoncé, mon idéal est devenu sensible, à resasser les mêmes tripes, ramasser les restes, à se savoir en haut de la chaine, à les voir se satisfaire d’un break, allez donc vous faire voir, je veux ouvrir mon champ de vision, pas trainer dans ce rayon, pas trimer, non, pas trop, non, dans mon pré y’a pas de patronna et je ne m’en porte pas trop mal, on sait y pardonner, éviter les tomates et la pelure de banane, on sait aussi très bien y cultiver, on plante à la mode de chez nous, on y fait la fête et on s’y serre les coudes, mes invitées son cool, chacun ramasse sa merde, ouais, mais celui qui est trop à la ramasse on l’aide, sur mon échiquier, tous les petits soldats son reine, ici le King il n’y a pas de place pour ton règne, mes animaux son des vaches ou des chiens qui grognes, pour défendre le troupeau, c’est pas pour ton bien mais pour le nôtre. Alors dehors, sortez de mon champ, je voulais voir pousser des rebelles et ça sans prendre de champ., la réalité m’échappe, je mets ça sur le dos de la dope, des claques, j’ai bon dos, mais plutôt une grande gueule. Alors dehors, sortez de mon champ, je voulais voir pousser des rebelles et ça sans prendre de champ., la réalité m’échappe, je mets ça sur le dos de la dope, des claques, j’ai bon dos, ouais j ai bon dos.
13.
Mon contexte une teille, un rap, à rêver de poules de compète, une feuille un clash, suivi d’une trêve pour un bon pète, un ref débarque lance le beat et sur les putes on déballe, chacun dans sa merde ensemble on partage les restes, en haut de cette pyramide humaine, or qu’en bas ils se buttent pour un bol, la tyrannie humaine veut qu’ici on est un psychologue, vu qu’ici voir se résume à être borgne et qu’on assiste impuissant au règne du biz, c’est surement à tort qu’on insiste, mais les voir voilà, entre deux crises de larmes, triste de ce drame quotidien, de ce qui se trame, derrière chaque parole, chaque parole, sur chaque bitume, chaque bitume, c’est banal on en a l’habitude, l’histoire se répète et les putes se succèdent, j’aime les caresses, mais il y a les claques et l’excès, mes rêves et ce mur devant l’accès, mare d’éviter tous ceux qui m’observent, mare d’éviter tout ce qui m’obsède, braver au mieux les obstacles, priver tous ces batards de procès équitables, brosser les lieux à la kalash, réveil pénible méchant décalage, réveil pénible méchant décalage. Mon contexte rien de savant, tant que je savoure le moment, mes gars ne s’avouent pas vaincu pour un sou et que « le savon » s’écoute, détendu pour une seconde, étendu en moins de temps, par un tendu, en attendant le second, vivant sans les pluies de roquettes, j’irais à l’encontre du monde, si j’avais le compte à Steve Fossett, les choses seraient plus faciles mais surement pas moins mauvaises, dure et las, chacun dans sa merde mais pas moins fière de plus en savoir, s’il te plait parles moins fort, ils n’ont pas à savoir quelles perles sont mes frères, avant qu’il y ait trop de pertes dans les rangs de ceux que je savoure, une lutte, une lettre à prôner l’individu et non l’indifférence, détrôner les meneurs, fournir des rames puisque le moteur cane, moteur cane, comme survivant de l’enfer, j’ai connu que Ken, j’ai connu que Ken, et même si « Yes He Can », je doute que ce soit sans se salir les mains, je balise de voir, comment on se perd dans un mode de vie dérisoire, j’ai ma bulle, mes quelques refs, notre rap, plus d’un tour dans mon sac pour me foutre minable. Mon contexte, une fuite quotidienne à me satisfaire de clopinettes, sans complexe on enchaine les cuites, c’est ce qui nous charme, les demis litres tirés par une belle poule slave, les réveils cruels, tous mes frères les bravent, départ au maille la tête dans le gaz, toute la même haine dans le regard, on est chacun dans sa merde mais tous ringards, « Plus belle la vie », ma parole mais tous se regarde, à 19h précise fait craquer l’audimat, je rêve de faire craquer l’Audi moi, mates mes potes sans faut plis, rêvent de Scarface, sans la fin à Toni, de paix sans armes, et pour ce faire, on se planque derrières nos petits drames, comme pour faire face aux mythomanes, rap pour faire place à mes Men, une fête comme entre homme au Hammam, je sonne une merde au « Amen », un Sims à la recherche de valeur dans une mer de malmène, une larme à l’Homme, une larme à l’Homme, une larme à l’Homme, un sourire à toutes les daronnes, je rap un SOS en morse, le ROS n’est pas mort, restera toujours un torse, à braver l’intoxe, à cracher un flow, même planqué derrière un rêve.
14.
(FAÇAVIE) Tous mes MC's don't cease fire ouais ce feu qui existe en tous ceux que l'on peut appeler « Sire » Une étincelle qui « get you higher ». Le contact est meilleur. We start from scratch, « tschik » un scratch qui brûle les coeurs, cumule les frères et soeurs, fait reculer les moeurs, encule les peurs, exprime les douleurs et les joies, à toute heure, avec foi, en douceur, avec force, en morse, en chintok, décime les suceurs. De la fraîcheur, un max de place aux successeurs. Ne parle pas de BIZ à tous mes MC's qui skient sur de Skeez. Check les skillz, relax et freez... Le calme avant la tempête. Pas d'« amphéts » pour ma fête. Pas d' « assoce » de « malfaits », juste quelques machettes, pour se frayer un chemin dans la jungle, utile comme épingle. Le tailleur ou tailleur de pierres tombales part ailleurs et d'ailleurs c'est claire. Rien à faire des malhonnêtes. Pas le temps pour les mecs qui se la pètent. Et quand ça pète, tous mes MC's sautent en pointant la tête. (SKEEZO) On fait tourner le mic toute la sainte journée jusqu à la night demande au cuistot de mettre une autre fournée Écoute les phrasés de mes maîtres de cérémonies On vient rassasier une faim de loup on hurle en harmonie On s réunit séance de crise à la tannière Séquence émotions prise de voix sans faire de manières Laisse tes politesses bouge ta tête jusqu au torticoli Holy hip hop le saint esprit n est pas sorti de la folie Tu peux pas marcher sur nos flows mon équipe débarque comme un prophète sans faire la prêche au idiots Guidés par certains idéaux vider le trop plein d ondes radio tuer la vidéo parti d en bas on surplombe ceux qui nous ont pris de haut La vie un combat on fait nos armes ça part en vrille très tôt J me focalise marre de rêver flou Ça redémarre tout mes mcs sont au rendez vous. (ALKA SPAWN) Des kilomètres au compteur de la plume du conteur Le moteur de motivation de l'auteur  Cracher ma rancoeur, situer ma hauteur, pigé les mécanismes du mal Mindhunter Les pulsions meurtrières dont je suis devenu le dompteur m'ont affranchi du docteur C'est le côté rédempteur Touché le fond puis en ressortir la forme sous métaphore quand le beat tape fort c'est comme ça qu'on t'informe Ecrire des chansons décrire comment les gens sont  c'est pas pour la gloire et sa rançon en vrai ya pas de raison fait pas de comparaison  J'aurai mieux fait de rester au lit si tu voulais du Big Flo & Oli De toute façon je suis trop malpoli rien à battre Laisse moi dans ma folie je suis comme ses chien qui pour un Frolic donne la patte Je reste anonyme comme alcoolique un homme qui pousse des coups de gueules anoynumus Tous mes Mc’s… Tous mes Mc’s… Tous mes Mc’s… Tous mes Mc’s… (K1K) Et soudain tout se pige pour moi, avec l’ami Mic, on s’est tout dit, des soirs sans inspi., à rapper sur les mêmes instrus., sans perdre une bonne occas., à lâcher une grosse insulte, je prenais le Mic pour un Colt, aujourd’hui, c’est l’homme qui tombe sur le cul, anti vocal raquette, le sens est vital et nicker les waks est évidemment inévitable, les sujets s’enchainent, alors qu’on est toujours sujet à la haine, on s’agite, parce que c’est bien d’avenir dont ‘il s’agit, une larme à nos grandes gueules qui se perdent, une claque à ceux qui se déclinent, ma flamme à ceux qui reste et la ferme à ceux qui se défilent, présent à l’appelle pour ceux qui se battent encore plus qu’hier, vingt ans plus tard avec un opus pour faire parler mes frères, c’est mon bled sous les bombes, ouais mais, qu’avec des bons, des mecs, à gueule de tombes sauf sur scène, ta gueule une honte en sursis, ma haine monte mec, Abusé par mes rimes et tous mes Mc’s. (2P) (JOK) Pour tous mes MC’S je conserve nos valeurs et même si le temps a filer je m’énerve et braille le même cri c’est le coup du lapin la minerve je te l’ai même dis mon leader shop c’est le leader ship et je te l’ai même pris. Même si pour moi y’a plus de micro je reste sur les ondes ma carrière est tellement longue je peux rapper avec 1 micro-onde j’aime cette idée d’être addict au son j’aime cette idée de donner tord au con d’être dans le rap et ma culture à fond notre spiritualité c’est le béton New Yorkais pour méditer là-dessus pas besoin de se forcer je reste dans la confrérie car c’est ma confiserie et je me gave à en baver de toutes ces friandises. Tous mes MC’S autant de soleil qui tape t’as besoin d’1 parasol c’est l’insolation et t’as besoin d’1 panadol t’en a raz-le-bol des disciples de la clé de sol t’as pas de bol on est aussi étendue qu’une mégapole.
15.
OUTRO 01:45

credits

released May 17, 2023

K1K LARTISAN | Dernière Phalange
DEOFI AL VESRE | Rec., Edit., Arrangements, Mix & Prod. dans Taller 513
NACHO MAQUIEIRA | Master

K1K LARTISAN | Paroles & Voix
DEOFI AL VESRE | Beats (2, 4, 5, 6, 8, 9, 10, 11 & 15)
SKEEZO | Beats (3, 7, 12 & 14) | Rec. (4, 7, 12 & 14) | Paroles & Voix (7 & 14)
NEIM PROD. | Beat (1)
ROVEL | Beat (13)
O2TR | Scratchs (1, 2, 5, 8, 9, 10, 13, 14 & 15)
PROTESTANGO | Paroles & Voix (11)
FAÇAVIE | Paroles & Voix (14)
ALKA SPAWN | Paroles & Voix (14)
2P | Paroles & Voix (14)
JOK | Paroles & Voix (14)
QUADRAAT.CH | Graphisme

K1k Lartisan www.instagram.com/k1k_lartisan
Deofi Al Vesre www.instagram.com/deofi_prod
Skeezo & Alka Spawn www.instagram.com/oliver_got_theblues_black
Neim Prod.
O2TR www.instagram.com/fashmoon/ & www.instagram.com/ruton_otr
PROTESTANGO www.youtube.com/protestango
Façavie www.instagram.com/facavie
2P www.instagram.com/salmogang_2peche
Jok www.instagram.com/lanimalmord
Nacho Maquieira www.instagram.com/nachomaquieira
Quadraat www.instagram.com/quadraat_bookmakers

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